Au-delà du moyen-âge, il subsiste des documents plus tardifs. Les plus importants sont le fameux « journal » de Boispitard (1574), qui nous est parvenu tronqué, de même que le procès-verbal d’inspection des remparts de 1675. Celui de 1562 semble hélas irrémédiablement perdu.
Les fameux « registres des aveux », dont huit tomes subsistent (d’autres sont-ils perdus ?), sont également une source majeure pour restituer l’histoire et la topographie de la ville et des environs à l’époque moderne.